Faire appel à un
expert automobile pour lui demander son avis est une procédure courante dans le règlement des conflits. Seul un professionnel habilité et mandaté peut effectuer l’expertise. Il peut être engagé par une compagnie d’assurance, le tribunal, un garagiste ou un particulier souhaitant faire un contrôle minutieux. Dans quel cas, un expert voiture, peut-il intervenir ?
Un expert automobile pour clarifier les faits
Un expert voiture est le seul technicien habilité et mandaté par le tribunal et les compagnies d’assurance pour statuer sur un cas de
litige automobile. Lors de son intervention, il évalue l’état général du véhicule, s’il y a des défauts d’ordre mécanique, impliquant le conducteur. À l’issue du constat, il va rédiger un rapport dont seule la contre-expertise peut contester sa décision. Le recours à un expert est une procédure courante en matière d’assurance automobile pour déterminer s’il y a lieu remboursement ou non. D’autres personnes, morales ou physiques, peuvent recourir à leur expertise pour toutes les transactions et problèmes touchant la mécanique et la sécurité des passagers. En tant qu’expert, il peut jouer le rôle d’arbitre pour mettre un terme au conflit opposant les deux parties. Pour réaliser un tel travail, un expert doit suivre des formations en mécanique automobile, en droit public, et les réglementations touchant la sécurité routière. De telles informations sont disponibles en un clic sur
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Jouer le rôle de consultant automobile
Souvent, les transactions effectuées entre un acheteur et un vendeur sont dépourvus de garanties commerciales. En cas de doute, le recours à un expert voiture est vivement sollicité par l’acheteur. Dans tel cas, l’expert joue le rôle de consultant qui va ausculter sur l’état de la mécanique, la longévité des courroies, la qualité des pneumatiques, etc. L’existence de ce genre d’expertise est une arme juridique efficace qui met en garde toute tentative d’escroquerie automobile. Leur évaluation est aussi une grande aide dans les problèmes de vice cachée qui provoque des préjudices moraux auprès de l’acheteur et du vendeur. Les résultats du rapport peuvent impacter sur le prix, qui doit être en rapport avec l’état du véhicule. En cas de panne récurrente après la cession du véhicule, un prix raisonnable sera réévalué entre les parties prenantes. Enfin, si le vendeur a déjà encaissé la somme due et livré la voiture. L’acheteur peut demander un remboursement pour motif de vice caché, dont il est en droit de réclamer auprès du vendeur, sur présentation du document du résultat d’expertise.
Pour contester un remboursement d’assurance
Souvent, le montant du remboursement ne correspond pas aux attentes de l’assuré. Ce genre de cas apparaît surtout lors d’un accident où le client se porte en victime et demande réparation auprès de la compagnie. À la suite de l’établissement d’un rapport décevant d’un expert mandaté par la compagnie, l’indemnisation obtenue est en dessous des normes acceptables du marché. Si de tels problèmes se produisent, la victime peut demander une contre-expertise pour contester le premier rapport d’évaluation. D’autres raisons peuvent être à l’origine de cette contestation telles que les circonstances d’accident, le coût des réparations est sous-estimé de la normale, ou bien la valeur de remplacement se décline totalement de sa valeur réelle, etc. Seulement, avant de réaliser une contre-expertise, il est possible de négocier auprès de l’assurance et de fournir des preuves avec photo à l’appui. Si l’assurance réévalue le montant des dégâts à une somme plus raisonnable, il n’est plus nécessaire de faire la contre-expertise. Sinon, le recours à une nouvelle expertise voiture est inévitable pour régler le conflit qui oppose l’assuré et l’assureur.
Vérifier la réparation après l’intervention d'un garagiste
Le règlement des factures de réparation d’un véhicule est jugé exorbitant pour un particulier. Pour contester le montant et vérifier le travail d’un garagiste, l’avis d’un expert voiture est d’une grande aide. Dans ce cas, il va comparer la valeur des pièces, de la main d’œuvre et les heures allouées pour l’intervention. Seul le rapport d’expertise peut confirmer si la réparation a été faite dans les normes, ou plus délicates et compliquées pour exiger une telle somme. Sinon, si l’effort de réparation est jugé des moindres, le propriétaire peut demander un remboursement et un règlement à l’amiable. En revanche, l’expert peut aussi intervenir durant les travaux de réparation dans les cas d’accidents où la voiture est déclarée « réparable ». Son assistance est utile et légale surtout dans l’installation des équipements de sécurité. Dans ce cas, son avis est un des plus importants, car il va jouer le rôle de responsable sécurité routière. Si la voiture est gravement touchée lors de l’accident, l’évaluateur doit engager des procédures légales. Soient une procédure qui concerne les Véhicules Gravement Endommagées (VGE) ou bien les Véhicules Économiquement Irréparable (VEI). Ces deux cas apparaissent souvent lorsque le coût de réparation dépasse la valeur réelle de la voiture, et qu’il est inutile de dépenser autant d’argent.